lundi 7 avril 2008

# Polaroïd n°6


Alors que je fixe la pendule, et que je me balance sur ma chaise comme un enfant de 4 ans, je fais mentalement le décompte des heures qu'il reste avant la nuit.
Et puis comme la nuit ne vient pas, j'écoute mon coeur qui bat quelque part dans mon cou, mon coeur qui refuse de s'arrêter. Comme si.

Je n'ai pas mon déo. Je l'ai oublié.
Le Axe de mon frère est atroce. C'est peut être ça qui m'a causé des nausées toute la journée.


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