mercredi 27 février 2008

#Polaroïd n°1

Et chaque rue, chaque détour, chaque coin de ce sixième arrondissement me rappelle un moment heureux, passé avec toi. Le bonheur ça file, ça file trop vite. Au final on finit par filer un mauvais côton. Aussi bien toi que moi.

De nos balades au jardin du Luxembourg, de nos chamailleries, de nos disputes parfois dans les rue de ce Paris, il ne reste que de vagues échos. Aujourd'hui tu peuples ta bouche de mots froids, tes yeux ne se posent plus sur moi et je ne sais pas encore combien de temps cela va durer. Peut être que tout est finit, que les échos resteront des échos et que je refuse de le croire. Peut être pas.
Je ne sais pas. Tu ne sais pas. Nous ne savons pas.
Et je reste là, au creux de toi.

lundi 25 février 2008

J'aurais aimé ne jamais revenir là.