dimanche 30 mars 2008

# Polaroïd n°5



De nos aventures urbaines à tous les trois, il ne reste que de vagues regrets semés ci et là dans la rame n°3 du métro parisien.
Le regret que ça soit toujours trop court.

De mes amours, il me reste le sentiment d'excitation, cette fièvre qui s'empare de moi dès que j'entends le son de sa voix.
Avec l'excitation que ça soit pour toujours.

Et de mes rêves, il en reste que d'autres ne comprendront pas. N'imaginer ma vie qu'avec toi.
Quelle folie.
Quelle folie.
Quelle folie.

Quant à ceux qui ne l'acceptent pas, nous les conchierons avec foi.

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