dimanche 16 mars 2008

# Polaroïd n°2

Jusqu'à ce soir je n'avais pas dit à Lau que je pensais systématiquement à elle, quand je passais devant Beaubourg. Et à chaque fois je me désole que notre café soit fermé.
Quand je passe devant l'hôtel de ville je pense toujours à Ré sans son fa. Il m'arrive de penser à lui à chaque fois que je passe un javel. Il m'arrive parfois de ressentir des nuits de février sur mon visage, comme si cette nuit là n'avais jamais fini.

De toutes façons les nuits de Ré me laisse toujours des goûts d'infinis.

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